Chaolin Li
Master en Arts visuels, TRANS – Pratiques artistiques socialement engagées
Chaolin Li est diplômée de l’université de Yibin (Chine), de l’école supérieure d’art Annecy Alpes (France) et de la HEAD – Genève. Sa pratique aborde les thèmes de la mémoire, de l’identité et de la création de liens. Elle y explore la frontière entre fiction et réalité, s’appuyant sur des récits inexacts et des installations éphémères. Dans son projet pour les Bourses déliées, l’artiste propose de réaliser un court-métrage inspiré de son histoire familiale. Elle y explorera les liens familiaux véritables ou incidemment créés, à travers trois générations. La narration combinera des procédés documentaires (lettres, images d’archives, sons) et des éléments fictionnels inspirés de ses souvenirs d’enfance.
Instagram: @libing_9
Julien Fournival
Master en Arts visuels, Work.Master – Pratiques artistiques contemporaines
Julien Fournival est diplômé de l’Ecole Nationale d’art de Nancy (France) et de la HEAD – Genève. Originaire d’un milieu rural modeste, l’artiste a grandi dans un environnement familial caractérisé par la violence, qu’elle soit physique ou psychologique. À travers la sculpture, l’installation et l’écriture, il propose des environnements parfois troublants. L’utilisation de figures non-humaines lui permet de dépasser le cadre de la mythologie personnelle pour tenter de construire des récits collectifs. Pour les Bourses déliées, Julien Fournival présentera une installation, intitulée Et les cauchemars eurent leurs propres rêves, dans laquelle il poursuivra ses questionnements sur les traumas, leur cristallisation et les moyens de les soigner.
Julien Fournival
Instagram: @julienfournival
Théa Giglio
Master en Arts visuels, Work.Master – Pratiques artistiques contemporaines
Théa Giglio est artiste conceptuelle et photographe, diplômée de l’ECAL et de la HEAD – Genève. Elle mène une recherche sur les espaces en transition, la mémoire des lieux et la matérialité des traces. Par des gestes de prélèvement et de déplacement, elle s’attarde sur ce qui glisse hors-champ, sur les fragments et les formes discrètes menacées d’effacement. Au MAMCO, et dans le cadre des Bourses déliées, elle interroge la survivance des lieux d’exposition à la veille de leur transformation.
Hanieh Rashid
Master en Media Design
Hanieh Rashid est diplômée de la Haute Ecole d’Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud (HEIG-VD), de l’ECAL et de la HEAD – Genève. Son travail se situe à la croisée de l’objet, des nouvelles technologies et de l’espace. Son projet pour les Bourses déliées, Grandma Eternal, s’inscrit dans la continuité de son travail de Master, Eternal Us. Ce dernier imaginait des doubles numériques capables de préserver la mémoire des défunts et de permettre une forme de communication entre les vivants et les morts. Avec Grandma Eternal, Hanieh Rashid confronte sa démarche spéculative à une réalité intime et concrète, en créant une version numérique de sa propre grand-mère. Ce projet ouvre une réflexion sensible sur les liens entre mémoire, technologie et identité.
Instagram: hanico_r
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Léanne Claude
Master en Design Mode et accessoires
Léanne Claude est diplômée d’un Master mode et accessoires de la HEAD – Genève. Son projet – Weaving Connections – s’ancre dans l’écosystème grandissant de la valorisation de la laine et vise à comprendre l’environnement technique local et ses capacités existantes dans le but de mettre en lumière le savoir-faire des différent-e-s acteur-trice-s du réseau. Sa démarche mêle recherche et pratique du design, s’appuyant sur l’échange et la collaboration avec les artisan-e-s. Pour les Bourses déliées, Léanne Claude prévoit une micro-collection de trois nouveaux accessoires, une plateforme numérique documentaire et une exposition immersive afin de raconter l’artisanat derrière la création.
Instagram: @leanneeclaude
Site Internet (en construction)
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Victoria Jospin
Master Espaces et Communication
Victoria Jospin est diplômée de l’Ecole supérieure des arts appliqués Duperré (Paris), d’une licence de scénographie de la Haute Ecole des Arts du Rhin (Strasbourg) et du Master Espaces et Communication de la HEAD – Genève. OLYMPIA s’inscrit dans son projet de diplôme Le sommeil de la raison, une installation immersive, inspirée par L’Homme au sable d’E.T.A. Hoffmann. Dans ce conte, Olympia, poupée mécanique façonnée par l’inventeur Coppelius, incarne une vision réductrice de la femme docile et soumise. Pour les Bourses déliées, Victoria Jospin souhaite créer une Olympia cyborg, à la croisée de l’humain, de l’animal et de la machine, et faire de ce personnage une figure d’émancipation.
Instagram : @victoria_jospin
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